mercredi 13 juin 2018

La remise des prix de l'AMOPA !










Une fois de plus, la classe de seconde GT C dans le cadre des cours de français de Mme Houdot-Charot a participé au Prix de la Jeune Poésie proposé par l’AMOPA. Un seul vœu : la Défense de la langue française !

















«      Pour conserver à la langue française toute sa qualité, pour la promouvoir auprès des jeunes générations, pour maintenir son rang dans le monde... »

Jean Dutourd (†), de l’Académie française


Maïlys Demessine a remporté le 2ème Prix!


          Félicitations à notre lauréate !



Quelle joie de voir récompenser les talents!








La remise des prix a eu lieu le mercredi 13 juin à la salle des Fêtes de la sympathique et  verdoyante commune de Gommegnies.
Un grand merci au Conseil municipal

pour son accueil chaleureux!
















 Plusieurs professeurs de l’établissement étaient présents

pour ce jour exceptionnel à la croisée des mots : Mme LERCH, M VANGHELUWE et moi-même.



Quelle émotion lorsque Maïlys a lu son texte !

L’assemblée était ébahie devant tant

de jeunes talents!



Voici les cadeaux reçus : livres, sacoche et bon d’achats.


    Maïlys était enchantée !
















 Et ...... suspense....

(vous noterez le temps d’attente... :) )


Voici le moment si attendu : le très beau texte de Maïlys !!



Dans la Marne, on s’avançait !

Dans la Somme, on pointait !

Dans Verdun, on fusillait !


Debout pour combattre !

Du sang vous verrez !

Beaucoup de paysans effrayés, des visages brûlés, des villes en fumée !

Des hommes tombent par milliers,

Mais que font nos bien-aimées ?

Sont-elles bien accompagnées ?


Attendons les ordres de nos chefs, l’Autorité...

Est-ce aujourd’hui ma dernière journée ?

Quand cessera cette cruauté ?


Sur la colline, où nous nous sommes réfugiés 
Nous passons toutes nos soirées

Dans notre demeure, appelée tranchée Entourés de nos lettres passionnées

Des héros au péril de leur vie

Repoussent en masse les assauts,

Des morts vous verrez...

Beaucoup de paysans défigurés, des visages attristés, des

villes dévastées...


Dans la Marne, on s’accroupissait...

Dans la Somme, on priait...

Dans Verdun, on mourait..



Et une dernière petite photo avec tous les lauréats :

écoliers, collégiens et lycéens.


























V. H-C

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